Os contaré la verdad. Si, si. Me iba a acostar, que es hora -son las cuatro y trece de la madrugada- pero no pude resistir. Qué paso? Pues 'cai' en un periodico, abajo, aqui en el local. De hecho, EL periodico de esta region en la que estoy ahora, que es Barcelona. Total que imposible para mis ojos no ver el titular del dia, del dia de ayer -que ya es mañana. Los pisos empiezan a bajar en Barcelona, dice. Lo primero que me pregunté fue -y puedo decir es, porque sigo igual- "hablaran de socavones?".
Ya esta nada mas. Me voy a dormir esta vez. Igual... no, nada, me voy.
No, que no lo voy a leer. Para averiguar, digo. No.
Y mira, ahora que lo pienso han puesto eso el dia del trabajador... Fijate, fijense... Tu que eres un currante, hoy es tu dia. Hoy toca el gordo... En fin, no exactamente, pero mira que es bueno trabajar... asi te pagas una casita y todos contentos. Tu banco, el estado, tu jefe porque asi te tiene agarado (no sé si hay un solo r), y tu bueno, felicisimo... claro. Porque los precios bajan, claro... Los precios de las casitas... No los de los châlets con qué sueñes... pero, mira algo es algo...
Currantes del mundo alegrense!
Me iba a acostar, y la verité, me voy ahora, que es hora -son las cuatro y veintitres. Hoy es dos de mayo, no hubo una masacre un dos de mayo? Me suena de algo... en fin. Ah ya sé, es la plaza en Madrid donde hacian antiguamente mega botellones... Pos nada.
Bonne nuit.
Oui oui, je traduis ça bientot Mag' xD!
Je vous dirai la vérité. J’allais me coucher, qu’il est l’heure -il est quatre heures et treize minutes du matin- mais je ne peux resister. Que se passe t il? Ben je viens de tomber sur un journal, d’ailleurs c’est LE journal de la region où je suis, qui est Barcelone. Bref, mes yeux n’ont pu éviter la une. “Les appartements baissent!”, ils disent. La première chose que je me suis demandé - et je continue d’ailleurs, est s’ils parlent du fait que les apparts s’effondrent. Non, parce que ici ça arrive parfois. Cette fois je vais me coucher. Non, je vais pas lire l’article pour vérifier...
Mais maintenant que j’y pense, ils mettent ça le jour de la fête du travail. Tu te rends compte? Vous vous rendez compte? Travailleur, c’est ton jour aujourd’hui, ton jour de chance. Regarde, les prix des apparts baissent, super! Non? Tout le monde content! Ton banquier, l’Etat, ton chef aussi parce que comme ça il sait que tu peux pas laisser ton taf... Ah biensûr, il s’agit des prix des petits apparts, rêve pas non plus, la maison de vacances dont tu rêves, non, ça ca baisse pas. Mais bon! c’est quand même super non?
Travailleurs, rejouissez vous!
J’allais donc me coucher, qu’il est l’heure - il est quatre heures et vingt trois minutes. Aujourd’hui, c’est le deux mai. Y a pas eu un massacre un deux mai? Maintenant que j’y pense... ça me dit quelque chose cette date.
Ah j’y suis c’est le nom d’une place a Madrid, ou, dans le temps ils faisaient des mega botellones...
(megabotellones c’est quand les gens boivent dans la rue. En Espagne ils ont “obligés, personne n’a de tunes pour avoir son appart... Et pas non plus les tunes d’aller dans les bars. Alors où ils font la fête? ben, dans la rue. Enfin, avant, maintenant c’est ... interdit!)